Oeuvre:
Date du feuilleton:
30 septembre 1845
Première phrase du feuilleton:
Il y avait à peu près un mois que les choses étaient dans cet état quand un jour Edouard, en sortant, vit entrer dans la maison voisine une vieille femme, à laquelle, disons-le, il ne fit pas grande attention, avec une jeune fille si belle, qu'ainsi qu'une déesse elle éclairait tout sur son passage.
Dernière phrase du feuilleton:
Voilà à peu près quelle était la vie quotidienne d'Edouard, lorsque la gracieuse vision du matin vint y jeter quelques instans de douce rêverie.
Remarques:
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle. » Le chapitre II est intitulé « Un lansquenet. » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »