La plupart des événements redoutés et funestes de la vie, sont moins douloureux en réalité, que durant les angoisses de l’attente et de la terreur. Ainsi, la transition de l’opulence à la pauvreté, pourvu qu’elle frappe brusquement, pourvu qu’elle n’arrive pas avec lenteur et peu à peu, pourvu qu’elle ne suinte pas goutte à goutte, mais qu’elle frappe brusquement, pourvu qu’elle n’arrive pas avec une péripétie complète, se supporte avec une facilité dont s’étonne la victime sur laquelle le malheur s’abat.
- Estropié pour le reste de sa vie ! Pauvre enfant ! Oui ! il vaudrait mieux mourir !
Le feuilleton est publié dans le haut de la page, sans titre de rubrique. Le chapitre est intitulé « La dentelle et la giroflée sauvage. ». Aucune remarque de clôture.