En 1836, au moment où s'ouvre cette scène, dans les premiers jours du mois d'août, la famille Guénic était encore composée de M. et de Mme de Guénic, de Mlle du Guénic, sœur ainée du baron, et d'un fils unique âgé de vingt et un ans, nommé Gaudebert-Calyste-Lous, suivant un vieil usage de la famille.
Enfin sa physionomie ouverte, sereine et faiblement rosée, la pureté de ses yeux bleus, qu'un regard trop vif eût blessés, exprimaient tout son caractère, la douceur, la tendresse infinie des anges.
Publié dans le « Feuilleton du Siècle. » Cet extrait fait partie de la Première Partie, intitulée : « Mœurs d'autrefois. » Le chapitre III est intitulé : « Le baron. » Le chapitre IV est intitulé : « Les deux femmes. » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »