La Russie n’avait pas été appelée à réviser la constitution qui venait d’être promulguée à Belgrade; elle n’en connut la teneur qu’avec le commun des martyrs, et grand fut son courroux de la trouver encore audacieusement démocratique, malgré les mutilations qu’elle lui avait fait subir.
Et si, aidée de notes de quelque valeur, j’ai essayé de faire connaître un des grands caractères de notre époque, de rétablir sur son glorieux piédestal, un héros, mieux encore, un homme de bien, … c’est, mue uniquement, par ce sentiment que nous éprouvons tous : un irrésistible intérêt pour les opprimés, une aversion profonde pour les oppresseurs.
Publié au rez-de-chaussée dans la rubrique « Feuilleton de La Presse ». Le chapitre est intitulé « Un Paysan et un Diplomate ». Remarque d'ouverture : « (9e article) ». Remarque de clôture : « FIN. »