Près d'une année s'était passée depuis le jour où Armande avait renoncé à l'espérance de jamais revoir son fils, et Barati, parfaitement rassuré grâce à la surveillance occulte dont il avait entouré sa femme, qu'elle n'avait point renouvelé ses tentatives à ce sujet, jugea qu'il était temps d'accorder ce pardon entier qu'Armande avait enfin mérité.
Dans le chapitre suivant nous dirons à nos lecteurs quelle était cette affaire dont venait de parler Giacomo, maintenant qu'ils savent quelle était l'origine du mot mystérieux Uri, qui avait été remis à Barati dans le château de la Roque, et qui l'avait encore plus épouvanté que la date terrible du 26 novembre, 16….
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle ». Cet extrait fait partie de la « Troisième partie ». Remarque de clôture : « (La suite à demain.) ».