Peut-être, de sa vie, Franz n'avait-il éprouvé une impression si tranchée, un passage si rapide de la gaîté à la tristesse, que dans ce moment; on eût dit que Rome, sous le souffle magique de quelque démon de la nuit, venait de se changer en un vaste tombeau.
Le Français avait bonne envie de se défendre, il a même un peu étranglé Beppo, à ce que j'ai entendu dire, mais il n'y avait rien à faire contre cinq hommes armés, il a bien fallu se rendre, on l'a fait descendre de voiture, on a suivi les bords de la petite rivière, et on l'a conduit à Teresa et à Luigi qui l'attendaient dans les catacombes de Saint-Sébastien.
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Journal des Débats. » Cet extrait fait partie de la deuxième partie du roman. Le trente-septième chapitre est intitulé « Les Catacombes de Saint-Sébastien. » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »