Effrayée par la prédiction du grand jeu de madame Fontaine, la Cibot s'était promis à elle-même de réussir par des moyens doux, par une scélératesse purement morale, à se faire coucher sur le testament de son Monsieur.
- Une simple promenade suffira, répondit le Juif armé de sa loupe et d'une lorgnette.
Publié dans la rubrique « Bibliothèque de Romans Nouveaux » de manière qu’on peut le plier pour en faire un livre. Le roman présente la « Deuxième partie » de la section intitulée « Les Parens pauvres » de la Comédie humaine. La pagination suit celle de La Cousine Bette (publié en fin 1846) par Honoré de Balzac, de sorte qu’on pouvait réunir plusieurs romans dans un livre. Cet extrait contient les pages 297-300 du livre et fait partie de la Première partie du roman. Chapitre XV est intitulé : « Ragots et politique des vieilles portière. »