Une heure après, Schmucke vit venir dans la chambre madame Sauvage, suivie d'un homme vêtu tout en noir, et qui paraissait être un ouvrier.
Mais à l'aspect de ce trou carré au-dessus duquel quatre hommes tenaient avec des cordes la bière de Pons sur laquelle le clergé disait la dernière prière, l'Allemand fut pris d'un tel serrement de cœur, qu'il s'évanouit.
Publié dans la rubrique « Bibliothèque de Romans Nouveaux » de manière qu’on peut le plier pour en faire un livre. Le roman présente la « Deuxième partie » de la section intitulée « Les Parens pauvres » de la Comédie humaine. La pagination suit celle de La Cousine Bette (publié en fin 1846) par Honoré de Balzac, de sorte qu’on pouvait réunir plusieurs romans dans un livre. Cet extrait contient les pages 349-352 du livre et fait partie de « Les Crimes d’en haut et les crimes d’en bas, » deuxième partie du roman. Chapitre XXVIII est intitulé : « Continuation du martyre de Schumcke, où l'on apprendra comment l'on meurt à Paris. »