Topinard, aidé par le courtier de la maison Sonet lui-même, emporta le pauvre Allemand dans l'établissement du marbrier, où les soins les plus empressés et les plus généreux lui furent prodigués par madame Sonet et par madame Vitelot, épouse de l'associé de monsieur Sonet.
- En effet, dit le juge-de-paix qui donna, sur-le-champ, gain de cause à Fraisier.
Publié dans la rubrique « Bibliothèque de Romans Nouveaux » de manière qu’on peut le plier pour en faire un livre. Le roman présente la « Deuxième partie » de la section intitulée « Les Parens pauvres » de la Comédie humaine. La pagination suit celle de La Cousine Bette (publié en fin 1846) par Honoré de Balzac, de sorte qu’on pouvait réunir plusieurs romans dans un livre. Cet extrait contient les pages 353-356 du livre et fait partie de « Les Crimes d’en haut et les crimes d’en bas, » deuxième partie du roman. Chapitre XXIX est intitulé : « Où l'on voit que ce qu'on appelle ouvrir une succession, consiste à fermer toutes les portes. »