Au moment où Pons rentrait machinalement chez lui, madame Cibot achevait le dîner de Schmucke.
Ici commence l'histoire curieuse d'un fils prodigue de Francfort-sur-Mein, le fait le plus extraordinaire et le plus bizarre qui soit jamais arrivé dans cette ville sage.
Publié dans la rubrique « Bibliothèque de Romans Nouveaux » de manière qu’on peut le plier pour en faire un livre. Le roman présente la « Deuxième partie » de la section intitulée « Les Parens pauvres » de la Comédie humaine. La pagination suit celle de La Cousine Bette (publié en fin 1846) par Honoré de Balzac, de sorte qu’on pouvait réunir plusieurs romans dans un livre. Cet extrait contient les pages 265-268 du livre et fait partie de la Première partie du roman. Chapitre VII est intitulé : « Un Vivant exemplaire de la fable des deux pigeons. »