Cousin Pons (Le) ou Les deux musiciens - Feuilleton 7

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Date du feuilleton: 
26 mars 1847
Première phrase du feuilleton: 

Monsieur Gédéon Brunner, père de ce Fritz, un de ces célèbres aubergistes de Francfort-sur-Mein qui pratiquent, de complicité avec les banquiers, des incisions autorisées par les lois sur la bourse des touristes, honnête calviniste, avait épousé une juive convertie, à la dot de laquelle il dut les élémens de sa fortune.

Dernière phrase du feuilleton: 

- Vous n'avez même, dit le président, qu'une chance de salut, c'est de désarmer mon cousin, par des excuses; allez lui dire que votre maintien ici dépend entièrement de lui, car je vous renvoie tous, s'il ne vous pardonne.

Remarques: 

Publié dans la rubrique « Bibliothèque de Romans Nouveaux » de manière qu’on peut le plier pour en faire un livre. Le roman présente la « Deuxième partie » de la section intitulée « Les Parens pauvres » de la Comédie humaine. La pagination suit celle de La Cousine Bette (publié en fin 1846) par Honoré de Balzac, de sorte qu’on pouvait réunir plusieurs romans dans un livre. Cet extrait contient les pages 269-272 du livre et fait partie de la Première partie du roman. Chapitre VIII est intitulé : « Où l'on voit que les enfans prodigues finissent par devenir banquiers et millionnaires, quand ils sont de Francfort-sur-Mein. »