Grâce à ces manœuvres sentimentales, romanesques et romantiques, Valérie obtint, sans avoir rien promis, la place de sous-chef et la croix de la Légion-d'Honneur pour son mari.
On jure souvent par les yeux et par un mouvement de tête plus solennellement qu'à la cour d'assises.
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Constitutionnel » de manière qu’on peut le plier pour en faire un livre. Le roman fait partie de la section intitulée « Les Parens pauvres » de la Comédie humaine. La pagination suit celle des Grands danseurs du roi (publié en juin 1846) de sorte qu’on pouvait réunir plusieurs romans dans un livre. Cet extrait contient les pages 121-124 du livre et fait partie de la « Première partie » du roman. Chapitre X est intitulé : « Acte de société d'une lionne et d'une chèvre, sous signature privée, et non enregistré. »