Le siège de la véritable existence de Crevel, autrefois rue Notre-Dame-de-Lorette, chez mademoiselle Héloïse Brisetout, était transféré, comme on l'a vu, rue Chauchat.
Ce dernier effort de la nature sèche et positive, pour garder avec elle cette image de la beauté, de la poésie, ne peut en effet se comparer qu'à la sauvage énergie du naufragé, essayant sa dernière tentative pour atteindre à la grève.
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Constitutionnel » de manière qu’on peut le plier pour en faire un livre. Le roman fait partie de la section intitulée « Les Parens pauvres » de la Comédie humaine. La pagination suit celle des Grands danseurs du roi (publié en juin 1846) de sorte qu’on pouvait réunir plusieurs romans dans un livre. Cet extrait contient les pages 129-132 du livre et fait partie de la « Première partie » du roman. Suite du Chapitre XII. Chapitre XIII est intitulé : « Dernière tentative de Caliban sur Ariel. »