Pendant ce dîner, Hulot, content de voir là son gendre, et plus satisfait encore de la certitude d'un raccomodement avec Valérie, qu'il se flattait de rendre fidèle par la promesse de la succession Coquet, fut charmant.
En effet, Stidmann, qui resta quelques instans rue Vaneau, vit sortir Wenceslas, et lui fit signe de venir promptement.
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Constitutionnel » de manière qu’on peut le plier pour en faire un livre. Le roman fait partie de la section intitulée « Les Parens pauvres » de la Comédie humaine. La pagination suit celle des Grands danseurs du roi (publié en juin 1846) de sorte qu’on pouvait réunir plusieurs romans dans un livre. Cet extrait contient les pages 169-172 du livre et fait partie de la « Première partie » du roman. Suite du Chapitre XXII. Chapitre XXIII est intitulé : « La Première querelle de la vie conjugale. »