En 1792, la bourgeoisie d'Issoudun jouissait d'un médecin nommé Rouget, qui passait pour un homme profondément malicieux. Il rendait, au dire de quelques gens hardis, sa femme assez malheureuse, quoique ce fût la plus belle femme de la ville.
Un matin, la Descoings alla se jeter aux pieds de sa nièce, et, tout en sanglottant, avoua l'état des choses. Mme Brideau ne lui fit aucun reproche, elle renvoya la domestique et la cuisinière, vendit le superflu de son mobilier, vendit les trois quarts de son inscription sur le grand-livre, paya tout, et donna congé de son appartement.
Le feuilleton est publié dans le rez-de-chaussée dans la rubrique « Feuilleton de La Presse ». Le chapitre I est intitulé « Les Descoings et les Rouget. ». Le chapitre II est intitulé « La famille Bridau. ». Note de publication interdisant la publication de cette nouvelle en bas de page. Nom de l'auteur indiqué ainsi : H. de Balzac. Remarque de clôture : « (La suite à demain.) ».