Ma chère, il y a pour toi à Chantepleurs une assez longue réponse à la lettre que tu m'as écrite de Marseille. Ce voyage est si loin de diminuer les craintes que je t'y exprimais, que je te prie d'écrire en Nivernais pour qu'on t'envoie ma lettre.
Le duc de Soria, don Fernand est très bien assorti avec elle; il a de la générosité, mais c'est un enfant gâté, cela se voit. Je pourrais être plus méchante et te faire rire, mais je m'en tiens au vrai. Mille tendresses, mon ange.
Le feuilleton est publié dans le rez-de-chaussée dans la rubrique « Feuilleton de La Presse ». Remarque : « Deuxième partie ». Le chapitre XXXVIII est intitulé « De la vicomtesse de l'Estorade à la baronne de Macumer. ». Le chapitre XXXIX est intitulé
« De la baronne de Macumer à la vicomtesse de l'Estorade. ». Le chapitre XL est intitulé « De la vicomtesse de l'Estorade à la baronne de Macumer. ». Le chapitre XLI est intitulé « De la baronne de Macumer à la vicomtesse de l'Estorade. ». Le texte est signé « De
Balzac ». Remarque de clôture : « (La suite à après-demain.) ».