Ma petite fille a deux mois; ma mère a été la marraine, et un vieux grand-oncle de Louis le parrain de cette petite, qui se nomme Jeanne-Athénaïs. Dès que je pourrai, je partirai pour vous aller voir à Chantepleurs, puisqu'une nourrice ne vous effraie pas. Ton filleul dit ton nom, il le prononce : matoumer ! car il ne peut pas dire les c autrement.
Je te trace ces lignes à la hâte, au milieu de mes préparatifs, de mes enfans, et d'Armand qui me crie : - Marraine ! marraine ! allons la voir ! à me rendre jalouse : c'est presque ton fils !
Le feuilleton est publié dans le rez-de-chaussée dans la rubrique « Feuilleton de La Presse ». Remarque : « Deuxième partie ». Le chapitre XLII est intitulé « Rénée à Louise. ». Le chapitre XLIII est intitulé « Madame de Macumer à la comtesse de l'Estorade. ». Le chapitre XLIV est intitulé « De la même à la même. ». Le chapitre XLV est intitulé « Rénée à Louise. ». Le chapitre XLVI est intitulé
« Mme de Macumer à la comtesse de l'Estorade. ». Le chapitre XLVII est intitulé « Rénée à Louise. » Le texte est signé « De Balzac ». Remarques de clôture : « Fin de la deuxième partie. » et « (la suite à demain.) ».