Oeuvre:
Date du feuilleton:
26 septembre 1845
Première phrase du feuilleton:
« Je pense comme toi, ma chère tante, que l'occasion que ton fils a trouvée de s'échapper ne doit pas être attribuée au hasard, - et que ses chefs auront eu pitié de ta douleur.
Dernière phrase du feuilleton:
Cette position, que Raoul sentait, lui était désagréable; mais, par momens, il pensait que le succès, - un peu lent, mais cependant probable de sa tragédie, - lui ferait reprendre dans la maison la place qui lui convenait, et lui rendrait le prestige d'autorité qu'il comprenait avoir perdu.
Remarques:
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle. » Cet extrait fait partie de la deuxième partie. Section intitulée « Marguerite à sa tante Clémence. » (Chapitre XXI) Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »