Date du feuilleton:
22 novembre 1838
Première phrase du feuilleton:
Cependant les chevaux se faisaient attendre; M. le gouverneur grondait et menaçait; moi, j'étais presque fâché (je le dis à voix basse) de m'être montré si curieux, et Petit, insouciant comme à l'ordinaire, se consolait de cette nouvelle course sous un soleil ardent, en songeant qu'au retour il dirait quelques mots à certaine bouteille de vin que je lui avais montrée du doigt.
Dernière phrase du feuilleton:
Mais le canon retentit; nous serrâmes cordialement la main à M. Pinto et à ses officiers, et nous prîmes tristement le chemin du port.
Remarques:
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle. » Chapitre XVIII est intitulé : « Timor. Suite.– Boa.– Deux Rajahs.– Détails.– Maladie.– Départ. » Remarque de clôture : « (La suite prochainement.) »