Les intérêts collectifs contrarient souvent en France l'esprit d'unité que professe l'administration, et dont elle semble se faire un point d'honneur, pour ne pas dire un cas de conscience.
Le club châteaugironais donna une approbation sans réserve à la nouvelle signification politique de l'enseigne, et parmi ses membres les plus rigides en matière de principes, pas un seul ne songea jamais à accuser d'attiédissement ou de dégénération le civisme du cheval blanc devenu définitivement le cheval patriote, car tel est le titre qu'il porte encore aujourd'hui, et qu'il conservera longtemps, nous l'espérons.
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Journal des débats. » Cet extrait fait partie de la première partie. Le chapitre I est intitulé : « Châteaugiron-le-Bourg et Châteaugiron-le-Vieil. » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »