A la vue de la maîtresse de la maison qui s'était arrêtée à la porte du cabinet, en examinant d'un regard un peu surpris, mais éminemment pénétrant, la physionomie animée des deux interlocuteurs, M. de Boisjoly se leva d'un air de politesse empressée, et de son côté le maître de forge s'efforça de reprendre l'empire sur lui-même qu'il avait perdu pendant un instant.
Mme Grandperrin et ses deux compagnons ne se doutaient pas de la position critique où se trouvait en ce moment même Georges Froidevaux, position d'autant plus fâcheuse que le ridicule s'y joignait au danger, et de laquelle, pour cette double raison, il est temps de le tirer.
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Journal des débats. » Cet extrait fait partie de la deuxième partie. Le chapitre VII est intitulé : « Une Femme forte. » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »