Héritage de mon oncle (L') - Feuilleton 7

Journal:
Date du feuilleton: 
09 juin 1841
Première phrase du feuilleton: 

La pension Rigolet apprit sans surprise un dénoûment que chacun avait prévu et dont on feignit, en gens bien élevés, d'ignorer complètement la cause déterminante, bien que dans le petit comité on ne se gênât nullement pour se dédommager de la réserve qu'on s'imposait en public.

Dernière phrase du feuilleton: 

- Il ne sera pas dit que le vicomte de Courseulles a frappé un gentilhomme; mais par la mordieu! aussi vrai que j'ai brisé ma canne, ce mariage sera rompu.

Remarques: 

Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle ». Chapitre VII intitulé « Mon oncle, le vicomte ». Remarque de clôture: « (La suite à demain.) ».