Ces querelles incessantes avec sir Hudson-Lowe et peut-être aussi la conversation avec lord Amherst, avaient ramené les pensées de l'Empereur sur sa querelle gigantesque avec l'Angleterre et sur ses constans efforts pour faire comprendre au ministère anglais l'intérêt que les deux nations avaient à s'entendre.
Mauvaise querelle sans valeur, puisque depuis trois ans nous n'avions jamais employé d'autre dénomination que celle d'empereur Napoléon, tant vis à vis de lui que vis à vis du gouvernement anglais et de l'amiral Cockburn, sans que jamais on se fût refusé à nous écouter ou à recevoir nos lettres et à y répondre.
Publié dans la rubrique « Feuilleton de La Presse. » Le chapitre XIV est intitulé : « Dépérissement de la santé de l'Empereur. » Annotation à propos de l'auteur au début : « Compagnon d'exil et exécuteur testamentaire de Napoléon. » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »