Nous l'avons dit, la princesse de Saint-Dizier savait prendre, lorsqu'il le fallait, les dehors les plus attrayans, le masque le plus affectueux; ayant d'ailleurs conservé des habitudes galantes de sa jeunesse, une coquetterie câline, singulièrement insinuante, elle l'appliquait à la réussite de ses intrigues dévotes comme elle l'avait autrefois appliquée au bon succès de ses intrigues amoureuses.
Ces mots satisfirent complètement Dagobert, et Mme de Saint-Dizier, après avoir pris affectueusement congé des orphelines, regagna sa voiture et alla retrouver Rodin, qui l'attendait à quelques pas de là dans un fiacre, afin de savoir l'issue de l'entrevue.
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Constitutionnel. » Cet extrait fait partie du dixième volume du roman. Chapitre IV est intitulé : « La Quête. » Remarque de clôture : « (Le 5e chapitre à demain.) »