Rien de plus triste que l'aspect de la paroisse de Saint-Merry par ce jour d'hiver bas et neigeux.
Ces deux sinistres spectacles augmentaient encore la tristesse de Françoise qui, parvenant à grand'peine à quitter l'église, se hâta de revenir rue Brise-Miche, afin d'y prendre les orphelines et des les conduire auprès de la gouvernante de son confesseur, qui devait les mener au couvent de Sainte-Marie, situé, on le sait, tout auprès de la maison de santé du docteur Baleinier, où était renfermée Adrienne de Cardoville.
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Constitutionnel. » Cet extrait fait partie de la partie intitulée « L'Hôtel de Saint-Dizier » et du troisième volume du roman. Chapitre XIII est intitulé : « Le Confessionnal. » Remarque de clôture : « (Le 14e chapitre à mercredi prochain.) »