Peu de personnes aujourd'hui savent combien étaient naïves les habitations des bourgeois de Paris au quatorzième siècle, et combien simple était leur vie :
La plus grande partie des commerçans tenaient pour le catholicisme; une petite portion des gens se disant éclairés voyait la liberté civile dans la liberté religieuse; mais presque tous les artisans et les jeunes gens épousaient la Réformation, mot aussi séduisant, mais aussi décevant que le fut plus tard celui de liberté, et qui produisit autant de mal!
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle ». Chapire I intitulé : « Une maison qui n'existe plus, au coin qui n'existe plus de la rue de la Vielle-Pelleterie qui n'existe plus, dans un Paris qui n'existe plus. » Remarque de clôture: « (La suite à demain.) ».