Oeuvre:
Date du feuilleton:
30 mars 1840
Première phrase du feuilleton:
Les salons de M. de Montdidier s'ouvraient à une foule nombreuse pendant que le philosophe de la rue des Poitevins faisait de l'héroïsme dans sa mansarde et se persifflait sur son désappointement.
Dernière phrase du feuilleton:
Un matin, il arriva une lettre de lui pour M. Delaunay, et la vieille domestique qui avait élevé Louise lui remit une autre lettre qu'elle seule devait lire.
Remarques:
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle. » Chapitre II est intitulé : « Les Absens ont tort. » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »