Oeuvre:
Date du feuilleton:
24 décembre 1840
Première phrase du feuilleton:
Lorsqu'on a beaucoup souffert, lorsqu'on a plié sous le poids d'une longue infortune et que tout-à-coup à des jours sombres et troublés succèdent des jours meilleurs, l'âme s'ouvre au bonheur avec défiance, et une sorte d'étonnement se mêle longtemps aux plus douces joies.
Dernière phrase du feuilleton:
– Ils viendront trop tard, Lucie, j'ai pris le reste!
Remarques:
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle. »