Mathilde - Feuilleton 41

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Date du feuilleton: 
10 mai 1841
Première phrase du feuilleton: 

La propriété de M. Sécherin, qu'il habitait alors avec Ursule, était située à Rouvray en Touraine, sur le bord de la Loire. Je fus obligée de repasser par Paris; je m'y arrêtai afin de mettre moi-même à la poste la lettre de M. Lugarto pour Gontran, lettre qui allait combler mon mari de joie et le délivrer de l'odieuse influence dont il avait si longtemps souffert.

Dernière phrase du feuilleton: 

Il n'y a rien de plus bourgeoisement, de plus platement vulgaire qu'un empressement faux et bruyant, que ces humbles protestations, que ces regrets exagérés de n'être que de pauvres provinciaux indignes de recevoir des personnes de la capitale (style de sous-préfecture, comme disait Mlle de Maran).

Remarques: 

Le feuilleton est publié dans le rez-de-chaussée dans la rubrique « Feuilleton de La Presse ». Sous-titre de l'ouvrage : « Mémoires d'une jeune femme. ». Remarque d'ouverture : « Suite et fin de la deuxième partie. ». Le chapitre XX est intitulé « La famille Sécherin. ». Remarque de clôture : « (La suite à demain.) ».