Oeuvre:
Date du feuilleton:
30 novembre 1838
Première phrase du feuilleton:
Un matin du mois de juin 1625, messire Anthoine-Claude Gairard, conseiller au parlement de Dijon, fut prévenu par un de ses serviteurs que sa femme voulait lui parler et le priait de passer dans sa chambre.
Dernière phrase du feuilleton:
Il n'y eut que deux personnes qui les écoutèrent sans se sentir touchées : Claude Gairard, en proie à une émotion sans cesse croissante, et donna Séraphine, toujours immobile et froide comme une pierre.
Remarques:
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle. » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »