Oeuvre:
Date du feuilleton:
28 octobre 1839
Première phrase du feuilleton:
Le peintre luttait depuis quelques jours entre le sentiment du besoin et l’accablante conviction de sa nullité momentanée, lorsque M. Ardillon se présenta de nouveau; mais cette fois il s’annonça d’une manière tellement énergique, que Roger ne put la reconnaître.
Dernière phrase du feuilleton:
C’est assez pour la paix de sa conscience : il jouira désormais sans remords de l’avenir qu’il a reconquis, et sa malheureuse épouse achèvera bientôt de payer au prix de sa vie l’erreur d’un mouvement romanesque, et la généreuse confiance qu’elle avait placée dans la tendresse enthousiaste, mais peu durable d’un cœur d’artiste.
Remarques:
Le feuilleton est publié dans le rez-de-chaussée dans la rubrique « Feuilleton de La Presse ». Aucune remarque de clôture.