Publié dans le rez-de-chaussée, dans la rubrique « Feuilleton ». Cet extrait fait partie de la « Première partie » qui est intitulé « Le Meurtre ». Remarque de clôture: « Fin de la première partie ».
Remarque en haut de deuxième page : « Nous terminons aujourd’hui la première partie de Monsieur Lecoq. Émile Gaboriau nous a fait assister à une enquête judiciaire dont les péripéties émouvantes ont été suivies avec un vif intérêt. Par des déductions ingénieuses, il est arrivé à démontrer que l’auteur du crime commis dans le cabaret borgne de la veuve Chupin doit être un grand seigneur. La seconde partie de Monsieur Lecoq est un drame saisissant, plein de faits et d’événements terribles. L’auteur nous a demandé quelques jours pour revoir son manuscrit, et pour donner à son œuvre ce dernier coup d’œil d’ensemble qui rend ses récits si vivants et si réels. Nous déferons volontiers au désir de notre collaborateur, et nous suspendrons pendant six jours Monsieur Lecoq. »