Oeuvre:
Date du feuilleton:
10 juillet 1839
Première phrase du feuilleton:
Je me souviendrai toujours qu'un soir de l'année 1827, sur les onze heures, au moment où j'entrais au bal de l'ambassade d'Autriche, j'aperçus tout d'un coup sur l'un des bancs extérieurs à côté de la grande porte la figure du portier de C…, mon ancien condisciple, que je demande ici, cher lecteur, la permission de ne désigner que par cette seule lettre initiale, lettre unique qu'il appose souvent du reste comme signature à d'admirables toiles, car mon ami C.. est tout simplement un grand peintre.
Dernière phrase du feuilleton:
Vous saurez le reste, monsieur, après que j'aurai tisonné le feu, chose que vous ne pouvez faire, puisque vous tenez mon écheveau. »
Remarques:
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle. » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »