Oeuvre:
Date du feuilleton:
20 mai 1847
Première phrase du feuilleton:
Rien n'est si mortifiant que d'avoir cru, ne fût-ce que pendant une heure, à une aventure romanesque, enivrante, et de s'apercevoir tout doucement qu'on a bien pu faire un rêve absurde.
Dernière phrase du feuilleton:
Mais qu'as-tu, Magnani? tu es triste et ne m'écoutes plus?
Remarques:
Publié dans la rubrique « Feuilleton de La Presse. » Cet extrait fait partie du premier volume. Le chapitre XII est intitulé : « Magnani. » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »