Piquillo Alliaga ou Les Maures sous Philippe III - Feuilleton 114

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Date du feuilleton: 
10 septembre 1846
Première phrase du feuilleton: 

Une fois que les échos de Pamelune eurent répété ce cri, une fois que les oreilles espagnoles y furent habituées, il ne parut pas plus difficile à prononcer qu'un autre, et retentit bientôt dans toutes les rues de la ville.

Dernière phrase du feuilleton: 

Ses yeux s'étaient arrêtés sur un moine de haute stature qui se promenait avec impatience dans une allée du jardin et semblait attendre quelqu'un, circonstance en elle-même fort indifférente et qui méritait peu d'exciter son attention, mais la figure de ce moine ne lui était pas inconnue.

Remarques: 

Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle. » Cet extrait fait partie du Septième Volume. Suite du Chapitre VIII (marqué par erreur comme le Chapitre VI), « La Popularité. » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »