Piquillo Alliaga ou Les Maures sous Philippe III - Feuilleton 115

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Date du feuilleton: 
11 septembre 1846
Première phrase du feuilleton: 

C'était une physionomie assez originale pour qu'on ne l'oubliât pas, et après quelques instans de recherches, Alliaga se rappela cette espèce de bête brute, cet Indien à moitié Espagnol, Acalpuco, qui au village d'Aïgador faisait l'office de frère rédempteur, et déchirait, à coup de lanière, ceux que Ribeira avait résolu de convertir.

Dernière phrase du feuilleton: 

Une heure plus tard, toutes les lumières étaient éteintes dans le palais de l'inquisition, et chacun se préparait aux grands événemens du lendemain.

Remarques: 

Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle. » Cet extrait fait partie du Septième Volume. Chapitre IX est intitulé « La Veille d'une émeute. » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »