Piquillo Alliaga ou Les Maures sous Philippe III - Feuilleton 22

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Date du feuilleton: 
09 avril 1846
Première phrase du feuilleton: 

En voyant les larmes de sa fille, la vieille Urraca ne put y tenir et se mit à sangloter; il n'y a pas de nature plus apte à la sensibilité que celle des mères de théâtre.

Dernière phrase du feuilleton: 

- Ah! comme vos mains sont froides!

Remarques: 

Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle. » Cet extrait fait partie de la Deuxième partie. Chapitre XIII est intitulé « Sous les toits (Suite). » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »