Piquillo Alliaga ou Les Maures sous Philippe III - Feuilleton 33

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Date du feuilleton: 
28 avril 1846
Première phrase du feuilleton: 

En proie à toutes les réflexions qui venaient l'assaillir, Piquillo se répétait avec désespoir qu'à coup sûr, un commerçant, un manufacturier n'accueillerait pas mieux que le grand seigneur un enfant inconnu qui, après vingt ans, lui tombait du ciel.

Dernière phrase du feuilleton: 

Tous les yeux se tournèrent de ce côté, et l'on vit, enveloppé dans un manteau, un beau jeune homme, de vingt-huit à vingt-neuf ans, adossé contre la muraille, immobile comme une statue, et qui, entré depuis quelques instans n'avait pas perdu un mot de cette conversation.

Remarques: 

Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle. » Cet extrait fait partie du Troisième Volume. Chapitre I est intitulé « Le Départ. » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »