Piquillo Alliaga ou Les Maures sous Philippe III - Feuilleton 51

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Date du feuilleton: 
29 mai 1846
Première phrase du feuilleton: 

La jour commençait à peine à poindre, que Pedralvi songea à exécuter son projet.

Dernière phrase du feuilleton: 

Ils furent mêmes obligés, pendant deux ou trois jours, de garder l'hôtellerie, attendant les nouveaux vêtemens qu'ils avaient fait demander à Tolède, et que Josué Calzade leur envoya, mais trop tard; ils étaient tous enrhumés! nouvelle fatalité à ajouter à toutes celles qui accablaient en ce moment le corps respectable des alguazils.

Remarques: 

Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle. » Cet extrait fait partie du Troisième Volume. Suite du Chapitre XIII, « L'Amitié. » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »