Piquillo Alliaga ou Les Maures sous Philippe III - Feuilleton 55

Auteur:
Journal:
Date du feuilleton: 
11 juin 1846
Première phrase du feuilleton: 

Le duc de Santarem était donc livré à toutes ces réflexions qui n'avaient pour lui rien de pénible, lorsqu'il avait reçu un message qui était venu mettre le comble à sa satisfaction.

Dernière phrase du feuilleton: 

Il faut absolument que je lui parle, moi, don Fernand d'Albayda.

Remarques: 

Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle. » Cet extrait fait partie du Quatrième Volume. Suite du Chapitre II, « La Nuit des noces. » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »