Le supérieur le suivit pendant quelque temps, aussi ému qu'essoufflé et sans prononcer un seul mot, persuadé que le message qu'on lui apportait était d'une importance telle que les murs du couvent ne devaient pas l'entendre; mais quand il s'en vit à une cinquantaine de pas, par la nuit qui déjà était sombre, et prêt à entrer dans une rue de la ville.
Mais toute une semaine se passa avant que le greffier eût parlé aux assesseurs, qui en parlèrent aux juges, lesquels en firent un rapport au conseil suprême, et Piquillo attendait dans les murs du saint-office, et les jours d'Aïxa étaient menacés!
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle. » Cet extrait fait partie du Quatrième Volume. Chapitre VI (marqué par erreur comme la chapitre VI) est intitulé « La Boutique du barbier. » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »