Piquillo Alliaga ou Les Maures sous Philippe III - Feuilleton 93

Auteur:
Journal:
Date du feuilleton: 
13 août 1846
Première phrase du feuilleton: 

Escobar, car c'était lui-même, contempla d'un oeil étonné et envieux tout le faste qui environnait Alliaga : les gens de l'hôtellerie presque prosternés devant lui, les domestiques à la livrée du roi qui s'empressaient de le servir, le fauteuil d'honneur où son ancien élève trônait vis-à-vis d'un excellent potage qu'on venait de lui présenter.

Dernière phrase du feuilleton: 

- On voit bien qu'il a étudié chez nous.

Remarques: 

Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle. » Cet extrait fait partie du Sixième Volume. Suite du Chapitre IV, « Escobar et Alliaga. » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »