La soirée s’acheva sans qu’il fût question de la princesse.
Elle tint, au moment du mariage de sa fille et du duc, une conduite d’une grande noblesse et qui sauva l’immoralité de cette combinaison; mais la méchanceté des gens de cour trouva matière à railler et prétendit que cette belle conduite ne coûtait pas grand-chose à la duchesse, quoique depuis cinq ans environ elle se fut adonnée à la dévotion et au repentir des femmes qui ont beaucoup à se faire pardonner.
Le feuilleton est publié dans le rez-de-chaussée dans la rubrique « Feuilleton de La Presse ». Sous-titre de l'ouvrage : « Scène de la vie parisienne ». Le chapitre V est intitulé « Le prince mis en jeu. ». Dédicace : Dédié à mon ami Théophile Gautier.
Remarque de clôture : « (La suite à demain.) ».