Au commencement de cette histoire, nous avons vu les poètes de la petite ville d'A** tirer toutes leurs comparaisons de la mythologie, mettre en parallèle M. Ducastel et Titon, Mlle Lucie de Charlieu et la jeune Aurore.
Ainsi, Mme Ducastel eut à subir tous les genres d'outrages. Innocente, on la montra au doigt comme une coupable; coupable, on exagéra le nombre de ses fautes; vivante, toute une ville se disputa les lambeaux de sa réputation; et morte, il y eut deux hommes qui la calomnièrent: celui qu'elle n'avait pas aimé, par sa feinte douleur; et celui qu'elle avait aimé, par sa railleuse indifférence.
Nouvelle publiée dans le rez-de-chaussée. Remarque d'ouverture : « Suite et fin. Voir le Siècle des 24 et 27 ». Signature : « L'Auteur d'Un enfant et des Femmes vengées »