Louis-François Dauvet, vicomte de Rupereux, avait, jusqu'à l'âge de vingt ans, habité le Beauvoisis, où son père, le comte des Marèts, exerçait les fonctions de lieutenant-général du roi, en même temps qu'il remplissait la charge de grand fauconnier de France; charge presque négative alors, et qui n'exigeait pas impérieusement sa présence à la cour.
Parmi messieurs les maris, il y en eut quelques-uns, - des mal appris, sans doute, - qui ne goûtèrent pas, comme ils le devaient, cette charmante et délicieuse rouerie, et c'est avec trois coups d'épée et le bras en écharpe que Louis-François Dauvet, vicomte de Rupereux, partit pour son exil de Marly-le-Roi, autrefois Marly-le-Châtel.
Le feuilleton est publié dans le rez-de-chaussée dans la rubrique « Feuilleton de La Presse ». Sous-titre de l'ouvrage : « Pastorale du temps de la régence. ». Le chapitre IV est intitulé « Un roué de la régence. ». Remarque de clôture : « (La suite à demain.) ».