Côme II, l'aîné des neuf enfans que Ferdinand avait eus de Christine de Lorraine, hérita de son père des trois vertus qui, réunies dans un souverain, font le bonheur de son peuple : la générosité, la justice et la clémence.
Mais Ferdinand répondit aux plaintes de son fils que sans doute cette antipathie tenait à l'état même où sa femme se trouvait, si bien que, quoique cette humeur sombre se fût encore accrue au départ de Charles de Lorraine, Côme prit patience, et l'on gagna ainsi le 9 août 1663, époque à laquelle la princesse donna heureusement naissance à un fils qui, du nom de son grand-père, fut appelé Ferdinand.
Le feuilleton est publié dans le rez-de-chaussée dans la rubrique « Feuilleton de La Presse ». Cet extrait est intitulé « Le palais Pitti. ». Remarque de clôture : « (La suite à demain.) ».