On ouvrit le testament. Maître Bouteau laissait trois cent mille livres à son gendre, cinquante mille livres à Mlle Fanchon, sa femme de chambre, et une centaine de mille livres répartis en legs pieux aux hospices et aux églises.
Cretté racontait avec cette aristocratie charmante que si peu de personnes ont conservée de nos jours quelques unes de ces anecdotes que personne n'ose plus raconter, lorsque tout à coup un négrillon fort maussade entra et demanda M. le baron d'Anguilhem.
Publié dans la rubrique « Feuilleton de La Presse ». Sous-titre de l'ouvrage : « Troisième partie. » Le chapitre VIII (Suite) est intitulé : « Comment le chevalier d'Aguilhem et [ illisible] se retrouvèrent plus amoureux l'un de l'autre plus que jamais, et des perplexités où cet amour plongea Roger. » Le chapitre IX est intitulé : « Comment l'ambassadeur persan Mehemet-Riza-Beg vint à Paris pour présenter à Louis XIV les hommages de son souverain, et comment le chevalier d'Anguilhem se trouva entraîné à faire une visite à cet illustre personnage. » Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »