Quand le roi, comme tous les amoureux du monde, eut longtemps et attentivement regardé à l'horizon disparaître le carrosse qui emportait sa maîtresse; lorsqu'il se fut tourné et retourné cent fois du même côté, et qu'il eut enfin réussi à calmer quelque peu l'agitation de son cœur et de sa pensée, il se souvint enfin qu'il n'était pas seul.
D'Artagnan reprit son chapeau sur la table où il l'avait jeté, et sortit.
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle. » Cet extrait fait partie du premier volume. Chapitre XIV est intitulé « Où le roi et le lieutenant font chacun preuve de mémoire. » Remarques de clôture : « (La suite prochainement.) »; « Fin du premier volume. » & « (Nous commencerons très prochainement la publication du 2e volume.) »