Il était sept heures du matin : les premiers rayons du jour éclairaient les étangs, dans lesquels le soleil se reflétait comme un boulet rougi, lorsque Athos, se réveillait et en ouvrant la fenêtre de sa chambre à coucher qui donnait sur les bords de la rivière, aperçut à quinze pas de distance à peu près, le sergent et les hommes qui l'avaient accompagné la veille, et qui, après avoir déposé les barils chez lui, étaient retournés au camp par la chaussée de droite.
Le secret demeura gardé, mais les heures, mais les jours s'écoulèrent sans que le général revint et sans que nul reçut de ses nouvelles.
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle. » Cet extrait fait partie du deuxième volume. Chapitre XIV est intitulé « Le Lendemain. » Remarques de clôture : « Fin du Deuxième volume. » & « (La publication du troisième volume commencera très prochainement.) »