Oeuvre:
Date du feuilleton:
19 mars 1842
Première phrase du feuilleton:
Les soldats de notre armée qui partent de Perpignan le sac sur le dos et vont s'embarquer à Port-Vendres pour l'Algérie ne savent pas, en arrivant à leur première halte, quel sol glorieux foulent leurs pieds, quelles cendres illustres sont mêlées à la poussière du chemin.
Dernière phrase du feuilleton:
Sa figure prit alors une expression si touchante que l'on eût cru voir une de ces filles de Niobé taillées dans le marbre par le génie de la sculpture, s'animer et répandre des larmes véritables.
Remarques:
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle ». Remarque de clôture : « (La suite à demain.) ».